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Les artistes

Exposition 2024 du 12 au 22 Juin

Marie elsa

Marielsa Niels 

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Née en 1986, Marielsa Niels est auteure photographedepuis 2007. Elle vit à Clermont-Ferrand. Représentépar la galerie Vrais Rêves, son travail est égalementdistribué par le studio Hans Lucas. L’individu est la pierre angulaire des recherches de Marielsa Niels : qu’ils’agisse de mettre en lumière avec humour les carcans, les incohérences ou les stéréotypes rencontrés par cetanimal social ou de s’interroger sur les mécanismes des phénomènes intimes, complexes et intrinsèques qui participent à la construction de chacun d’entre nous. Ses travaux ont été présentés aux festivals Encontrosde Imagem et en partenariat avec le Centre Photographique L’Hôtel Fontfreyde, Nicéphore +, enprojection au cours des Nuits de l’année puis de Réponse Photo et Fotofever à Arles, en exposition personnelle à la galerie Vrais Rêves, au Musée de Salford, au festival Photo Münsingen en Suisse(...). En2023 elle reçoit une bourse à la création de TEDxClermont à l’issu de la résidence expérimentalemise en place par l’Association Culturelle Mo(uve)ments. En 2024 c’est la structure Diaphane qui l’accueille pour une nouvelle résidence de création. Parallèlement, elle se voit confier des commandesartistiques par des institutions publiques et privées, qui laissent place à l’interprétation de l’auteure sur les sujets qui lui sont proposés et soumis (notamment : « Europe at home » confiée par Clermont 2028, commande de l’Association des Bibliothécaires de France-Auvergne contre les poncifs de leur métier, ...). Anne Eléonore Gagnon

JB

Jean-Baptiste Lyonnet

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D’un côté la nature, nue, brute à son état originelle, et de l’autre une civilisation grandissante avec son architecture toujours plus démesurée et omniprésente. Cette dualité a nourri mon inspiration et mon travail, en me questionnant sur le rapport que nous entretenons avec l’espace et la façon dont nous l’appréhendons. L’émotion ressentie devant la force brute des éléments naturels, en coexistence avec la complexité vibrante des cités, nous rappelle le fragile équilibre de notre cohabitation. Une ville, posée au sein de la nature, possède sa propre silhouette, sa propre physionomie en fonction des fleuves ou montagnes qui la borde. Vivantes et complexes toutes deux, elles évoluent avec leurs forces et fragilités. Je cherche à restituer dans mes toiles ces sensations et émotions, en tentant de capter le flottement de la lumière, de suivre la fuite des nuages, de pénétrer la trame des métropoles et leurs scintillements. J’explore de grands espaces aux horizons noyés, des océans à l’assaut des limites et je cherche à voir derrière ces paysages, les mystères de terres inconnues. J’observe avec attention la vie sous toutes ses formes, ses couleurs, ses instants furtifs et des images qui se découvrent. Sans esquisse, sans schéma préconçu, je scrute l’instant propice, la vision qui va s’imposer avec certitude, pour en cueillir son étincelle. Je peins le ciel, l’océan, les roches et sa poussière, les immeubles et leurs reflets, venus des mondes nébuleux de la mémoire, remettant en question mon rapport à l’univers. J’écoute les messages venus de temps enfouis, de rêves et de souvenirs, d’ambiances à retrouver. Mon but est d’être fidèle au passage délicat de l’intérieur vers l’extérieur qui guide le geste,

et ainsi partager ma réalité intérieure. Peindre est un voyage initiatique dans des univers  oniriques. Je guette sur la toile l’instant décisif où doit naître, comme une apparition, la force évidente de l’énergie vitale, un instant volé à l’éternité.

Antoinette

Antoinette Chatelain 

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Enfant, Antoinette Châtelain grandit entourée des bronzes poétiques de la peintre et sculptriceForézienne Emma Thiollier, son arrière-grande tante. Émerveillée, l’envie de sculpter germe déjà en elle. Jeune adulte elle intègre des cours du soir dans différents ateliers. Puis ressentant de plus en plus le besoin de suivre l’élan créatif qu’elle ressent ensculptant, elle quitte son travail et installe son atelier dans la campagne bourguignonne. Elle fera sapremière exposition en 2010.

Ses sculptures sont figuratives, inspirées de tranches de vie. Elle puise son inspiration dans la simplicité du quotidien. Elle retranscrit le lien à soi et aux autresdans une attitude, une expression, un geste, un mouvement du corps. C’est le dialogue intime entre la matière et ses ressentis qui la guide durant le façonnage.

Pour elle, c'est toujours une surprise de voir l’inconnuse dévoiler, ce surplus de vie s'inscrire dans la terreou dans le bronze.

 

« Le but de la sculpture, c’est d’abord la joie de celuiqui la fait. On doit y sentir sa main, sa passion » G Richier

MARI

Mari Niazashvili

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Artiste Géorgienne, née le 27 juin 1999 à Tbilissi. Ence moment je suis volontaire au Corum Saint Jean àClermont-Ferrand. J’organise des animations artistiques pour les jeunes. 

Mon rôle au-delà de l’exposition de mon travail est de fédérer un groupe de jeunes travailleurs basés au Corum Saint-jean. Ces jeunes ont une appétence pour l’art… L’objectif est de les faire grandir grâce à l’art et de leur montrer que tout est possible…

 

La plupart de mes œuvres montrent des émotionsnées du plus profond de l’âme. Je travailleprincipalement à la peinture à l’huile, mes œuvresmontrent plutôt les symboles des sentiments, utilisantles dynamiques des couleurs et les changementsesthétiques de l’ombre à la lumière.

Claude

Claude Legrand

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Claude Legrand, né le 8 mai 1966 à Savigny-sur-Orge dans l'Essonne est un peintre français.

Il partage son temps entre son atelier de Clermont-Ferrand dans le Puy-de-Dôme et celui de Saint-Bonnet-de-Condat dans le Cantal.

Les œuvres de Claude Legrand se caractérisent par leur abondance de couleurs vives et leur composition audacieuse. Il puise son inspiration dans la nature, les paysages urbains et les émotions humaines. Son travail explore la relation complexe entre la lumière et l'ombre, et il crée des effets visuels saisissants en jouant avec les contrastes et les textures.

Au fil des années, Claude Legrand a participé à de nombreuses expositions collectives et individuelles, tant en France qu'à l'étranger. Ses œuvres ont été largement saluées par la critique et ont trouvé leur place dans de nombreuses collections privées et publiques.

Frédo

Frédérique Lacroix Damas 

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Belge d’origine et psychologue de formation, FrédériqueLacroix Damas est en Auvergne depuis 1996. Elle a eul’occasion de travailler la terre dès son arrivée.  Tout de suite, ce fut le coup de foudre ; « c’est comme si mes mains avaient milles choses à raconter » dit-elle. C’estl’observation qui la guide. Après une recherche sur des sujets classiques et très figuratifs, un travail avec modèlevivant la fait rechercher des formes plus simples et plus pures.  Une visite dans le Périgord lui a fait découvrir les beautés de l’art pariétal, et son choix s’est orienté vers la représentation de la Femme. Sa production s’est alorsenrichie de déesses préhistoriques qu’elle s’approprie et les parant de dentelles et d’émail, ou qu’elle reproduit enbronze.  2020 l’a vue revenir à ses anciennes amours.  Eneffet, son travail s’est enrichi d’une galerie de portraits de chevaux. Depuis peu, comme l’Amour guide sa vie, il luisemblait logique d’étoffer son travail par des couples enlacés. Elle travaille aussi régulièrement sur commande, faisant en sorte de proposer des pièces non seulementuniques, mais réalisées suivant les désirs de ses clients.Elle partage également sa passion par le biaisd’expositions, de participation à des marchés d’art, enanimant des stages ou en partageant son savoir dans de nombreuses écoles. Vous pouvez voir ses pièces à la galerie Vis’art à Lyon, à la galerie L’Empreinte à Vichy, à la galerie 34 à Sarlat ou la suivre sur les réseaux sociauxFacebook Lacroix Damas Sculptrice, Instagram Lacroixdamas.art, Youtube. www.lacroixdamas.com

Motte

Motte

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Après cette première année, il se rend compte que l’institution des Beaux-Arts n’est pas pour lui, il va s’orienter vers une formation plus professionnalisante en Arts Appliqués, avec pour spécialité, graphisme, édition et publicité. Puis, il poursuit par une licence de stylisme textile. Il a encore besoin de temps pour expérimenter et découvrir d’autres pratiques artistiques. Et surtout, il préfère mener une double vie, étudiant le jour et graffeur la nuit. 

Il collabore avec différents artistes, entre autres avec Keymi ou le collectif EndtoEnd à Clermont- Ferrand sur différents projets artistiques. Tout bascule à l’été 2016 avec sa participation à la fresque anniversaire du tramway de Clermont-Ferrand. Ce projet de grande ampleur pour la ville, le pousse à créer son activité de peinture murale. Puis la machine est lancée, Motte réalise des fresques sur commande pour des particuliers, des entreprises, des acteurs publics, ou des ateliers pédagogiques…. 

Aujourd’hui, il a son propre atelier qui lui offre tout le confort de production pour des expositions et pour la galerie Christiane Vallé. Mais il n’a pas oublié les murs de béton, il continue à réaliser des fresques. Il poursuit aussi tout un travail pédagogique et de transmission du street Art, de l’illustration, de la BD auprès du jeune public. 

Un univers riche et pluridisciplinaire Motte développe une pratique artistique «vandale» avec le collectif RJ à Lyon (Rail Junky), actif de 1996 à 2006. On retrouve dans ce crew, Sonotone_one et d’autres artistes.... Il pratique aussi la fresque de terrain, lieux dédiés ou friches choisies. 

Motte a fait du Graffiti Art et de la peinture ses spécialités incontournables. Issu de la culture Graffiti, il expose aussi bien dans l’espace public qu’en galerie(s) d’art, dans le cadre d’expositions et de collaborations régulières avec la Galerie Christiane Vallé. 

Aujourd’hui basé à Clermont-Ferrand, il a ainsi à coeur de multiplier les projets, dont certains sont réalisés en extérieur (comme les fresques murales). Il dispose également de son propre atelier qui lui assure tout le confort de création et de production.

Exposition 2023

Karine

Karine Proriol

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« Révéler la beauté dans sa simplicité, toucher nos sens, porter un autre regard sur ce qui nous entoure. »

Marquée par la beauté sauvage et authentique des paysages de son enfance, entre le Laos, la Côte d’Ivoire et l’Auvergne, la nature et les éléments qui la composent ont toujours été une source d’inspiration forte et tiennent une place importante dans son travail et sa réflexion.

Diplômée de l’université d’Arts Plastiques de Saint-Etienne puis de Paris Sorbonne, Karine Proriol travaille successivement dans les domaines de la décoration, de l’artisanat d’art puis du patrimoine.

Ces expériences liées à l’art et la culture n’ont cessé de nourrir son désir de créer.

A Lyon, en 2001, au contact d’une association d’art textile contemporain, elle commence à développer une démarche artistique personnelle.

Elle découvre le textile, les fibres et plus particulièrement le cocon de vers à soie.

Antoinette

Sébastien Chartier

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Né en 1970 dans la Loire où il vit et travaille, son atelier se trouve dans les monts du lyonnais. Sébastien Chartier vient à la sculpture suite à une reconversion.

 

Autodidacte et sculpteur du vivant ses deux principaux sujets sont l’homme et l’animal.

 

Au travers de symboles que représentent les animaux qu’il a choisi de sculpter, il nous parle d’humanité, de valeurs et de notre place dans le monde vivant.

Il fige des regards, des attitudes qui nous interpellent et semblent nous parler.

Julien

Julien Mignot

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Julien Mignot est né en 1981. Ses premiers reportages le conduisent rapidement dans les coulisses des plus grands défilés de mode parisiens ; à 20 ans à peine, ses photos sont publiées dans le ELLE. Sa vocation pour la photographie a rapidement dépassé son appétit pour les études, et malgré l'obtention d'une maîtrise en géographie, il a décidé de poursuivre sa vocation créative.

 

Les premiers travaux de Julien l'ont d'abord conduit au photoreportage. Il travaille pour les journaux français Libération, Le Monde, ELLE et Télérama. Son travail l'emmène rapidement à l'étranger et il s'oriente peu à peu vers le portrait. Il collabore à plusieurs reprises avec le New York Times, Grazia, le M-Le Monde, l'Express Style, l'O, D Magazine, Sport and Style ou encore le New Yorker. Les studios de disques commencent à remarquer la qualité de son œil pour le portrait, et on lui demande de s'occuper de la photographie des pochettes de plusieurs disques, de Claudio Abbabdo à Jeanne Added, en passant par Izia et Kiddi Smile, Rodolphe Burger, ou encore Yuksek.

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